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Transfert; une histoire d'analyse à deux voix

Affiche Transfert à deux voix

Notre désir constant que le transfert de travail fasse oeuvre, se relie au transfert d’amitié avec notre amie depuis 20 ans et collègue en psychanalyse, Claire Gillie, fondatrice du CRIVA, et avec une amie et collègue en psychanalyse plus récente mais pas moins passionnante, Cristina Jarque, fondatrice de LaTE.
L’épitomé de notre profond désir dans le cadre de notre groupe athénien des recherches en psychanalyse, portant la signature de mon propre nom et du nom d’un objet que j’investis comme « esquisse de vie », serait de donner à la voix des « thématiques aphones » liées à des signifiants qui mettent à nu le revers social du vif du symptôme, du symptôme analytique.

Notre désir fait lien avec le désir du savoir psychanalytique tel que Freud l’a rendu lisible avec sa sorcière métapsychologie, tel que Lacan et quelques autres psychanalystes de son époque mais aussi de la notre, tel que Paul Laurent Assoun, l’ont élucidé. Et finalement, tel que ce même savoir psychanalytique peut faire l’objet d’une révision éthique et épistémologique à la base d’une revisite des anciens écrits épistémiques notamment philosophiques.
Avec notre titre «Transfert : une histoire d'analyse à deux voix » on tend l’oreille pour entendre le transfert dans son histoire clinique et épistémologique depuis le divan de Freud mais aussi, plus anciennement, depuis l’Agora de Socrate (469-399 av JC) et sa maïeutique. De la philosophie à la psychanalyse et de la clinique à l’épistémologie, les propositions des thématiques restent infinies. Ayant comme objet phare la voix on arrivera à entendre clairement l’énoncé de Lacan, dans son 8ème séminaire sur le transfert, déclarant son identification « Socrate me tue » !

Les intervenants hispanophones

Les intervenants francophones

 

 

 

Samedi 24 avril 17h (Journée hispanophone)

  • Daniel ARISMENDI (Mexique) : « La transferencia alumno-profesor/Le transfert d'élèves-enseignants »
  • Varinia CORTES (Mexique) : « La transferencia y el lugar del analista/ Le transfert et la place de l'analyste »
  • Paola FRANCO: (Mexique) : « Escucha en la transferencia / L'écoute dans le transfert »
  • Sebastian GUTIERREZ (Mexique) : « Vox Lux »
  • Cristina JARQUE (Espagne) : « La voz que cura/La voix qui cure »
  • Evagelia KANAVA (Grèce) : « La voix entre deux pauses »
  • Uriel Lima (México) : « La fonética de la transferncia / La phonétique du transfert »
  • Mauricio MALISKA (Bresil) : « La voix en transfert »
  • Carlos MAYEN (México) : « La transferencia en la clínica de niños/Le transfert dans la clinique pour enfants »
  • Michel MONTEALEGRE (México) : « Scat a una voz/ Scat à une voix »
  • Rosa Imelda de la Mora (México) : « Voz, pulsión invocante y transferencia/La voix, la pulsion invocante et le transfert »
  • Cristina Ortega (México) : « Transferencia, tratamiento desde el alma/Le transfert, traitement de l'âme »
  • María Padilla (México) : « Cuando tu voz no es tu voz / Quand ta voix n'est pas ta voix »
  • Adriana Varona (France): « La transferencia y lo numérico / Le transfert et le numérique »

 

Dimanche 25 avril 17h (Journée francophone)

  • Amalia ATSALAKI (Grèce) :
  • Doriane LE BRAS (France) : « Discordance et cacophonie dans le transfert »
  • Stephanie CHRISTODOULOU (Grèce) : « Voix et corps : le transfert médiatisé par le cancer à travers un cas clinique »
  • Claire GILLIE (France) : « Le silence, une histoire de transfert à trois voix »
  • Hélène GODEFROY (France) : « Autopsie d’un acte analytique »
  • Thémis GOLEGOU (France) :
  • Emmanouil KONSTANTOPOULOS (Grèce) : « Ce Socrate me tue ! »
  • Kim MARTEAU (France) : « La voix royale du transfert »
  • Ghilaine JEANNOT PAGES (France) : « Le transfert, propédeutique de l’inouï »
  • Laura PIGOZZI (Italie) : « La voix bègue de Stoner et de l’Analyste »
  • Agape ROMIOU (Grèce) : « Crier en deux : entre naissance et viol »
  • Hélène TZAVARAS (Grèce) :
  • Jovana VESSALA (Grèce) : « Osmose et asymétrie dans le transfert : de Platon à Bergman »
  • Natacha VELLUT (France) : « La voix sans parole de l’Analyste »